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Les derniers vestiges de l'humanité sont menacés par les Veks, de gigantesques insectes extraterrestres qui surgissent des profondeurs de la terre. Pour contrer cette menace, vous devez prendre le contrôle de puissants Mechs venus du futur.
Subset Games, déjà responsable de l'excellent FTL, nous offre ici un jeu de tactique surprenant, bien que n'étant pas une adaptation officielle du film Pacific Rim, l'univers et l'histoire présentent des similitudes. En effet, les Mechs dans Into The Breach diffèrent des Jaegers de Pacific Rim, en ce sens qu'ils sont beaucoup plus diversifiés. On trouve des robots géants de base, des tanks, des canons d'artillerie, des avions, des unités de soutien, etc. Au début du jeu, on dispose d'une escouade de base composée d'un robot géant, d'un tank et d'un canon d'artillerie. Au fur et à mesure que l'on joue, on débloque de nouvelles escouades composées de Mechs différents, chacun offrant de nouvelles manières d'aborder le champ de bataille et obligeant les joueurs à revoir leurs tactiques. Une autre différence majeure réside dans la possibilité de voyager dans le temps grâce à une faille temporelle.
Tout comme FTL, Into The Breach est globalement simple à comprendre et très accessible. On commence par choisir l'une des quatre îles disponibles, chacune ayant son environnement unique, son histoire et ses missions spécifiques. Une fois la mission choisie, on se retrouve sur une petite carte tactique de huit cases de côté, où l'on déploie notre escouade pour éliminer les Veks et accomplir les objectifs. Les combats se déroulent au tour par tour. À la fin de chaque mission, on reçoit des récompenses sous forme d'étoiles, qui servent de monnaie, et d'énergie, qui sert de barre de vie. On choisit ensuite la mission suivante en fonction de ce que l'on souhaite obtenir et des objectifs à atteindre. On continue ainsi jusqu'à la mission finale, où l'on doit protéger le quartier général de l'île et vaincre le boss.
Cependant, ceux qui ont déjà joué à FTL savent que derrière cette apparente simplicité se cache un jeu impitoyable, mais tout aussi intéressant et captivant. Il faut faire preuve de prudence, de patience et d'un grand sens tactique pour mener à bien chaque mission sans subir trop de dégâts. Parfois, cela se transforme même en un véritable puzzle game. Les ressources sont limitées, le gain d'expérience est lent et il faut choisir judicieusement les équipements des Mechs.
Il est conseillé de commencer en mode facile pour bien assimiler les mécaniques du jeu, et de profiter du tour par tour pour planifier soigneusement ses mouvements. Même si le mode facile permet d'annuler le dernier coup ou même le dernier tour, ce ne sera pas toujours le cas dans les modes de difficulté supérieure. Une partie peut cependant se terminer rapidement. Une fois les mécaniques du jeu maîtrisées, prévoyez environ deux bonnes heures pour sauver les quatre îles principales et mener la bataille finale sur l'île volcanique.
Subset Games intègre également une petite dose de rogue-like dans Into The Breach, à l'instar de FTL. Cela est justifié par la présence de la faille temporelle mentionnée précédemment. En cas d'échec ou de situation catastrophique, on peut choisir quel pilote retournera dans le passé. Ce pilote conserve alors toute son évolution et prend en charge une nouvelle escouade pour sauver la terre dans une nouvelle ligne temporelle. De plus, il existe des défis à relever et des escouades à débloquer, ce qui signifie qu'il y a de nombreuses heures de jeu pour atteindre les 100% de progression.
En ce qui concerne l'aspect technique et graphique du jeu, Into The Breach présente des graphismes simples mais efficaces, légèrement pixelisés et rappelant davantage les jeux destinés aux smartphones que les jeux PC, ce qui lui confère un certain charme. La musique, toujours composée par le même compositeur, est agréable à écouter et parfaitement adaptée au jeu.
En conclusion, j'ai été séduit par ce nouveau bijou signé Subset Games. Depuis que je l'ai acheté sur Nintendo Switch, le jeu est parfaitement adapté à ce support. C'est idéal pour de courtes sessions de jeu lorsque l'on dispose de quelques minutes de libre. De plus, il est toujours agréable de replonger dans le jeu à la moindre occasion.
Subset Games, déjà responsable de l'excellent FTL, nous offre ici un jeu de tactique surprenant, bien que n'étant pas une adaptation officielle du film Pacific Rim, l'univers et l'histoire présentent des similitudes. En effet, les Mechs dans Into The Breach diffèrent des Jaegers de Pacific Rim, en ce sens qu'ils sont beaucoup plus diversifiés. On trouve des robots géants de base, des tanks, des canons d'artillerie, des avions, des unités de soutien, etc. Au début du jeu, on dispose d'une escouade de base composée d'un robot géant, d'un tank et d'un canon d'artillerie. Au fur et à mesure que l'on joue, on débloque de nouvelles escouades composées de Mechs différents, chacun offrant de nouvelles manières d'aborder le champ de bataille et obligeant les joueurs à revoir leurs tactiques. Une autre différence majeure réside dans la possibilité de voyager dans le temps grâce à une faille temporelle.
Tout comme FTL, Into The Breach est globalement simple à comprendre et très accessible. On commence par choisir l'une des quatre îles disponibles, chacune ayant son environnement unique, son histoire et ses missions spécifiques. Une fois la mission choisie, on se retrouve sur une petite carte tactique de huit cases de côté, où l'on déploie notre escouade pour éliminer les Veks et accomplir les objectifs. Les combats se déroulent au tour par tour. À la fin de chaque mission, on reçoit des récompenses sous forme d'étoiles, qui servent de monnaie, et d'énergie, qui sert de barre de vie. On choisit ensuite la mission suivante en fonction de ce que l'on souhaite obtenir et des objectifs à atteindre. On continue ainsi jusqu'à la mission finale, où l'on doit protéger le quartier général de l'île et vaincre le boss.
Cependant, ceux qui ont déjà joué à FTL savent que derrière cette apparente simplicité se cache un jeu impitoyable, mais tout aussi intéressant et captivant. Il faut faire preuve de prudence, de patience et d'un grand sens tactique pour mener à bien chaque mission sans subir trop de dégâts. Parfois, cela se transforme même en un véritable puzzle game. Les ressources sont limitées, le gain d'expérience est lent et il faut choisir judicieusement les équipements des Mechs.
Il est conseillé de commencer en mode facile pour bien assimiler les mécaniques du jeu, et de profiter du tour par tour pour planifier soigneusement ses mouvements. Même si le mode facile permet d'annuler le dernier coup ou même le dernier tour, ce ne sera pas toujours le cas dans les modes de difficulté supérieure. Une partie peut cependant se terminer rapidement. Une fois les mécaniques du jeu maîtrisées, prévoyez environ deux bonnes heures pour sauver les quatre îles principales et mener la bataille finale sur l'île volcanique.
Subset Games intègre également une petite dose de rogue-like dans Into The Breach, à l'instar de FTL. Cela est justifié par la présence de la faille temporelle mentionnée précédemment. En cas d'échec ou de situation catastrophique, on peut choisir quel pilote retournera dans le passé. Ce pilote conserve alors toute son évolution et prend en charge une nouvelle escouade pour sauver la terre dans une nouvelle ligne temporelle. De plus, il existe des défis à relever et des escouades à débloquer, ce qui signifie qu'il y a de nombreuses heures de jeu pour atteindre les 100% de progression.
En ce qui concerne l'aspect technique et graphique du jeu, Into The Breach présente des graphismes simples mais efficaces, légèrement pixelisés et rappelant davantage les jeux destinés aux smartphones que les jeux PC, ce qui lui confère un certain charme. La musique, toujours composée par le même compositeur, est agréable à écouter et parfaitement adaptée au jeu.
En conclusion, j'ai été séduit par ce nouveau bijou signé Subset Games. Depuis que je l'ai acheté sur Nintendo Switch, le jeu est parfaitement adapté à ce support. C'est idéal pour de courtes sessions de jeu lorsque l'on dispose de quelques minutes de libre. De plus, il est toujours agréable de replonger dans le jeu à la moindre occasion.
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